Sijilmâsa, cité islamique du Maroc médiéval
Recherches archéologiques maroco-françaises 2011-2016

© Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine (INSAP)-2020
ISBN : 978-9920-9075-1-4
Dépôt légal : 2021MO0015
Illustration de couverture : vestiges de murs en pisé sur le site de Sijilmâsa. Ces murs, datés de l’époque moderne (mi-xve au xixe siècle) scellent plusieurs mètres de niveaux archéologiques médiévaux. Aquarelle par Christian Darles.
Maquette, éditing et mise en pages : Laurent Tournier
Impression : Editions & Impressions Bouregreg, sise au 10 av. Alaouiyine, Appt. 3, Hassan-Rabat – Tél. : 05 37 20 57 83
Sijilmâsa, cité islamique du Maroc médiéval
Recherches archéologiques maroco-françaises 2011-2016
Sous la direction de
Elarbi ERBATI, François-Xavier FAUVELLE et Romain MENSAN
Villes et sites archéologiques du Maroc (V.E.S.A.M.)
Vol. IX
Rabat 2020
Ce livre est la monographie tirée du programme « Sijilmâsa (Maroc) : ville, oasis, carrefour » conduit de 2011 à 2017 par une équipe maroco-française sous la direction d’Elarbi Erbati et François-Xavier Fauvelle dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine (INSAP), Rabat, Maroc, et le laboratoire TRACES de l’université Toulouse Jean-Jaurès, France. Romain Mensan a assuré, avec les codirecteurs du programme, la coordination des fouilles. Ce programme archéologique n’a été possible que grâce aux financements de la Commission consultative des fouilles du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et du programme « FABRICAMAG » de l’Agence nationale de la recherche dirigé par Clémentine Gutron, avec l’appui de l’INSAP, de l’université de Toulouse Jean-Jaurès, de la Maison des sciences de l’homme et de la Société de l’université Toulouse Jean-Jaurès, du laboratoire TRACES, du Centre Jacques-Berque, du Service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France à Rabat. La préparation finale du manuscrit a été assurée grâce au concours financier du programme « FABRICAMAG » de Clémentine Gutron. L’équipe remercie les chercheuses et chercheurs bénévoles qui ont contribué au travail de terrain et d’étude, Thomas Soubira qui a réalisé sa thèse d’archéologie dans le cadre du programme, ainsi que les étudiants et étudiantes marocains et français qui ont participé aux campagnes de terrain. Membre de l’équipe lors de plusieurs campagnes, Zoubida Mseffer a souvent offert son expérience et son énergie en tant qu’experte du patrimoine; qu’elle trouve ici l’expression de notre reconnaissance. À Rissani, nous avons pu travailler dans d’excellentes conditions grâce au soutien de la Municipalité Moulay Ali Cherif; nous remercions son président, M. Ahmed Allaoui, et M. Mohamed Alaoui Ben Chad, directeur général des services, le Caïdat de Rissani placé sous l’autorité de Saïd Flafidi, le Centre d’études et de recherches alaouites dirigé successivement par Mohamed Bouchara et Abderrahmane Flmidani. Nous remercions les directeurs successifs de l’INSAP, MM. Aomar Akerraz et Abdelouahed Ben-Ncer, ainsi que les collègues de cette institution. Nous avons bénéficié de l’expertise du CERKAS de Ouarzazate et de son directeur, M. Mohamed Boussalh, que nous remercions. Nous exprimons enfin toute notre reconnaissance à ceux sans lesquels aucun travail n’aurait pu être conduit : les ouvriers du chantier de Sijilmâsa et leur représentant, Omar Azzouzi.
